Gestion des cerveaux dans un contexte mondialise
Ne pourrons-nous pas gerer collectivement les cerveaux ou lieu de pleurnicher sur leur fuite? Pourquoi ne pas creer, renforce et enfin gerer un vaste reseau des specialistes dans different domaine et essayer de generer des orientations nouvelles dans le tiers-monde? Pourquoi ne pas suivre l’exemble du monde des affaires ou la chine de production se mondialise a pas de loup? Les grandes entreprises ne cherchent plus a territorialser sa main d’oeuvre au niveau de son siege general, plutot a connecter toutes les unites de maniere a degager cette synergie necessaire a la production de la connaissance. Puisque nous vivons a une epoque ou de plus en plus c’est sur l’intelligence economique et la connaissance technique (au sens large) que se cree la competitivite. La performance et la competitivite resulte de la montee inexorable du contenu en connaissances scientifiques et techniques dans les activites productives. Dans la mesure ou le capital physique (cuivre de Kinshasa ou petrole de Brazza) devient une variable secondaire par rapport a la capacite de mobiliser en reseau les intelligences des hommes, on assiste au basculement vers une division cognitive du travail reposant sur le fractionnement des processus de production selon la nature des blocs de savoirs qui sont mobilise. Ce processus n’est pourtant ni univoque ni uniforme dans l’espace, mais il favorise une polarisation nouvelle particulierement marquee pour ce qui concerne les activites intensives en connaissance. Dans la nouvelle division cognitive du travail, le facteur determinant de la competitivité d’un territoire depend de plus en plus du " stock " de travail intellectuel mobilisable de maniere cooperative par celui-ci.
Alors que le monde en train de virer vers ce type de pensee, les deux Congos se lamentent encore sur la fuite des cerveaux pour justifier (joyeusement) la remontee des semi-analphabetes dans les hautes spheres des etats.
Alors que le monde en train de virer vers ce type de pensee, les deux Congos se lamentent encore sur la fuite des cerveaux pour justifier (joyeusement) la remontee des semi-analphabetes dans les hautes spheres des etats.
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