Capital social comme exigence du progres
Les congolais sont des etres etranges, ils font toujours des choix contre-nature et irrationnels. ils choisissent si facilement la pauvrete et s’en accomode. Il suffit de voir comment un Pakistanis ou Libanais qui arrive au Congo s’enrichit en un clin d’œil. Cependant, les Congolais se specialisent dans la gestion de l’aide belge tout en clamant haut et fort qu’ils sont des nationalistes. Ces nationalistes qui n’ont jamais eleve leur nation ; qui ne font que la detruire. Ils n’ont jamais reussi une seule realisation qui fasse la fierte de leur pays. La capacite a transformer les potentialites que du pays depend aussi de l’honetete face au reel et au vrai ; ces qualites etant inclus dans ce qu’on qualifie de capital social. Tant qu’on prefere le faux du vrai, l’illusion de la realite, les faits et evidence aux mots, il est sur qu’en violant ainsi les lois de la science, de la technologie et de la vie nous ayons implicitement fais le choix de la puavrete et du retour au moyen-age. Quoi de plus normale que l’on s’eloigne de la science en embrassant la sorcelerie, qu’on refute la technologie pour tomber dans l’outil prehistorique, que l’on se retrouve indifferent envers les droits humains et protection de la vie des citoyens. Surtout que l’on ne se gene meme pas face aux morts initiles et partant qu’on retrouve des sens et sentiments quasi-animal que le reste de l’humanite avait pourtant abandonne des la fin du moyen-age. Ne pas choisir l’education equivaut a un culte de l’ignorance et ne pas choisir les voies du progres equivaut a un choix (souvent libre) de la pauvrete.
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